Clawz

Prénom : inconnu , même pour elle
Nom : voir ci-dessus
Surnom : Clawz (prend parfois le nom de Éliza James pour déjouer l'autorité)

Âge : ne le sait pas trop elle-même, probablement entre 18-22 ans
Grandeur : 5 pieds 7
Description physique : Une assez belle jeune femme, élancée comme une danseuse des grands ballets. Malgré tout, elle possède une musculature raffinée; une que l'on forme à l'endurance et non pas pour des concours de madame muscle. Elle a eu de la chance d'avoir hérité d'un joli visage dans une douce peau légèrement halé. Ses cheveux sont d'un naturel brun foncé avec de légers reflets auburn et ses yeux sont ordinairement gris-verts. Ou du moins c'est ainsi qu'elle était au plus loin qu'elle se souvient. Elle porte maintenant divers piercings aux oreilles et dans le sourcil, quelques cicatrices à l'arcade sourcilière, des tatouages et un"branding" sur le corps. Elle semble aussi s'être renforcé. Depuis, elle porte du noir et des vêtements punks, des gants noirs, des bottes à semelle épaisse remontant aux genoux, des jeans bleu marins délavés serrés et toujours un petit collier noir à pendentif.

Race : Zoomorphe
*Animal : Puma

Rôle : une fille de la rue, ne sait pas où elle en est pour l'instant.

Caractère : Son expérience l'a rendue amère et désorientée. Elle a de la misère à discerner le bien du mal parfois et est extrêmement méfiante. Elle s'est rapidement forgé un caractère bagarreur et provocateur pour survivre à son nouveau milieu. Son esprit bouillonne de besoins de vengeance injustifié; elle en veut à tout le monde. Au fond, elle s'est forgé une carapace pour protéger son innocence violée...

Histoire :

L'histoire explique tout des précédentes descriptions. Elle ne remonte à pas très longtemps, du moins dans la mémoire de Clawz... Elle nous permet de comprendre la noirceur de son âme dissimulant son profond bouleversement.

Sauf les scientifiques de Graham corps, personne ne peut savoir qui était Clawz avant qu'elle s'inscrive pour l'expérience Béta, un sombre projet dont elle ne pouvait connaître les détails. Comme tous les autres cobayes, la mutation avait été éprouvante et douloureuse. Pour remédier aux nombreuses évasions survenues après que le cobaye ait eu ses nouvelles conditions, les scientifiques prirent l'initiative de lui faire un "lavage de cerveau" comme on dirait. Ils lui ont totalement effacé sa mémoire personnelle; elle sait encore parler, se faire du café et tous les gestes banals du quotidien, mais ne sait plus du tout qui elle est.

Elle se réveilla dans une pièce aux couleurs froides et monochromes. Elle avait l'impression que des aiguilles lui transperçait la peau sans arrêt tellement les élancements qu'elle ressentait était terribles. La jeune femme se demanda où elle était, voyant que ses bras était sangler à son lit d’hôpital. Puis, elle se demanda comment l’avait-on amené ici. Mais une révélation vint la frapper et augmenter ses angoisse; avait-elle déjà été ailleurs qu’ici? Elle réalisa avec horreur qu’elle n’avait aucun souvenirs remontant à avant ce réveil. La jeune lança un regard paniqué dans la pièce, voyant étrangement bien dans la demi-obscurité, à la recherche d’un indice, mais elle du se rendre à l’évidence; elle était attachée dans un lieu inconnu aux allures de prison médicale, sans aucune mémoire et avec cet inconfort poignant. Dans la panique, l’instinct prit le dessus alors qu’elle ressentit un étrange sentiment; comme une nouvelle force émanant d’elle même. La jeune femme déchira les lien d’un coup et se redressa sur le lit, scrutant nerveusement les alentours tel un fauve traqué; elle avait entendu quelque chose derrière la porte d’acier. Des gardes avaient du la surveiller sur un moniteur et venaient maintenant pour la tranquilliser. La jeune femme poussa un grondement quand la porte s’ouvrit et fit un bond surhumain de 6m. de longueur, saut digne d’un couguar ((ils en sont bien capable)). Elle renversa les hommes et partit à toute allure dans les dédales du centre scientifique. Elle réussit finalement à s’évader et ne se fit pas prier pour se réfugier le plus loin possible. Plus tard, elle réussit à s’enfuire et à se rendre dans la grande ville de New-York.

Maintenant, elle vit avec les gens de la rue, les junkies, les clochards, les gangs et les voleurs… la canaille. Elle n’a eu d’autre choix que de s’intégrer, adoptant le comportement, les activités de subsistances, les modes et même les marquages et tatouages de ceux-ci. Bien connue des voleurs et pickpockets du coin, elle se fait baptiser Clawz…pour rappeler les aptitudes surhumaines dont les rumeurs parlent. Jamais elle ne le prouvera aux autres voleurs, mais ces rumeurs sont vrai… Souvent, la nuit, on peut voir un énorme couguar bipède sauter de toits en toits, rugissant sa rage de s’être fait voler sa mémoire et sa peine d’être seule dans un monde si étrange.